Émilie Saugrain : la piquée de la fièvre du burlesque

Émilie Saugrain aime les robes, le strass, les paillettes, se maquiller, bref elle aime assumer son côté féminin. Cela n’a pourtant pas toujours été le cas. Elle est née et a grandi à Nice, mais très vite elle se sent étouffer dans sa ville natale. Elle ressent le besoin de bouger et de découvrir une autre vie dont elle est sûre, l’attend autre part.
Laure de Thiersant : “admettre de se tromper…”

Depuis sa plus tendre enfance, Laure s’est toujours vue travailler dans le droit en tant qu’avocate. Elle a organisé ses études dans ce sens. Elle se voyait défendre les salariés, c’est la raison pour laquelle elle s’est tournée vers le droit du travail. Bien que pour plusieurs raisons, elle n’a pas passé le concours, elle a quand même put exercer son métier en tant qu’avocate. Elle aime son métier, et trouvé du sens à régler les problèmes des salariés qui sont souvent en infériorité par rapport à leur employeur : « l’idée c’était de leur restituer un peu de pouvoir dans cette relation ».
Judith Aquien, trois mois sous silence

Après avoir vécu deux grossesses dont une fausse couche, Judith a réalisé combien cette période est la plus critique et la plus difficile à vivre pour les femmes. Pourtant, cette période est la plus niée.
Caroline de la Porte : de la plume à la terre !

adulte. Elle adorait lire des livres, mais quand son nez n’était pas dans les bouquins, elle faisait travailler son imagination débordante. Elle à été éduquée en région parisienne par un père chirurgien et une mère tenancière d’un salon d’Art Contemporain. Très vite, alors qu’elle remarque la passion de sa mère pour l’art, cette dernière lui transmet tout son savoir sur l’art et son métier. Pour Caroline, c’est à ces moments que la graine de l’amour de l’art a été plantée.
Laura Voyer : « Ça fait peur de changer de vie »

Originaire du sud de la France, Laura à eu une enfance où elle ne manquait de rien. Elle se lance dans des études de commerces après une prépa. Diplômée d’HEC en 2012, elle entre vite dans le monde du travail. Changeant régulièrement d’entreprise, elle rejoint le groupe Coca-Cola où elle évoluera pendant 5 ans. Ce qui lui plaisait à l’époque est le fait de ne pas faire la même chose tous les jours : « Le matin on est avec la finance, l’après-midi on travaille avec les équipes des usines, avant de finir la journée sur les prochaines campagnes de publicité ». Mais ce qu’elle retiens surtout de cette période de sa vie reste les rencontres humaines qu’elle a faite.
Série de podcasts : Oser à 45 ans -partie 3-

L’association Force Femmes et Les Déviations vous ont concocté une mini-série de podcasts “Oser à 45 ans” qui vous emmène sur les pas de 6 femmes aux expériences plurielles, contraintes à un moment de leur vie à se remettre en question. Qu’elles soient salariées ou indépendantes, ce sont autant de parcours de vie inspirants qui témoignent avant tout de l’audace, de la créativité et de la résilience qu’elles ont su déployer pour écrire la suite.
Patricia Peracini : « soit tu gagnes, soit tu apprends».

“Je n’ai pas peur de foncer. Je ne gagne pas toujours mais j’apprends.” Après des années à nager dans un couloir, Patricia Peracini , cette ancienne sportive de haut niveau […]
Temps de travail ? Que représente-t-il dans notre vie ?

Le travail, la quête de sens : on n’a jamais autant parlé de ces deux thématiques qui sont au coeur, il est vrai de nos vies. Et de bien des […]
The Big Quit : “la fidélité au travail appartient au passé !”

Pas moins de 38 millions d’Américains – sur 162 millions d’actifs- n’ont pas hésité à démissionner en 2021 de leur société,
Série de podcasts : Oser à 45 ans -partie 2-

Épisodes 3 et 4 / 6 Les Déviations partent à la découverte de 6 profils de femmes créatives et résilientes de 45 ans qui ont dû relever une rupture professionnelle. […]